Elles sont terminées pour moi, presque pour les grands enfants qui rentrent demain et pour l'Enchanteur qui reprend les cours (qu'il donne) vendredi... il n'y a que Lomalarchovitch pour se la couler douce encore un an avant que les affaires (scolaires) ne le rattrapent !
De ces vacances, on essaiera de ne garder que le doux, le beau, le bon, le qui rend heureux, malgré les tracas familiaux qui ont parfois fait un peu d'ombre aux plans initiaux.
L'accueil fantastique de Samantdi qui nous a permis de passer une semaine Toulousaine ensoleillée, pas que du point de vue de la météo. On a glandouillé, arpenté le Jardin des Plantes à répétition, crâné avec nos canapés portables, fait le plein de rires avec les amis du cru, vu les enfants grandis (et même découvert ceux qui n'étaient pas nés lors de notre dernier séjour) bien mangé, bien profité.
Ce que j'adore avec ma tante Pim, c'est qu'auprès d'elle on se sent en famille tout de suite, comme si on avait toujours cohabité. Alors que ça n'est pas QUE rigolo que de se faire envahir par 5 chevelus (dont une pré ado et un Tambour Zébulon deuzans) d'un coup. Nini et Merlin ont enduré avec une grande patience l'invasion, aussi.
Merci à tous les copaings d'avoir tordu leurs agendas pour nous faire entrer dedans (et au Manduca pour les longues promenades et les débuts de sieste, on aurait pas parié un kopek sur le fait que Lomalarchovitch s'endorme ailleurs que dans son lit).
Et puis nous avons changé de Sud et fait connaissance avec ma poupinette coquinette mignonnette nièce. Elle est encore plus choupinette que ce qu'on m'avait raconté et nous a tous adoptés avec la sociabilité et les sourires.
Lomalarchovitch a profité des joies du plein air et de la baignade en eau salée ou chlorée à s'en palmer les pieds (qu'il a gardés fort sales tout au long du séjour), Cro-Mi et le Lutin nous ont gratifiés de leur occasionnelle présence, on a profité du beau temps et de la géométrie variable familiale en fonction des circonstances et, je crois, ça a fait du bien à tout le monde.
Nous voilà rentrés, des sourires plein la tête. Me reste à m'occuper de ce résidu de vertige. C'est parti.
C'est la rentrée.