lundi 11 juillet 2016

2 ans

Ce 11 juillet à 11h11, Lomalarchovitch aura deux ans.

Il me reste peu de souvenirs de la nuit de contractions seule à l'hôpital, des inquiétudes de juste avant, du départ pour la césarienne en urgence.

Mais je me souviens avec netteté de son petit nez tout rond et rigolo quand on me l'a présenté, de mes premiers mots à son oreille "par l'extérieur" (bonjour mon fils, je t'aime), et de l'attente interminable avant de faire connaissance.

Il a gardé son caractère plutôt toujours content (ou alors ça ne dure pas) (sauf s'il a faim), un appétit féroce et une bouille à croquer.

Il jacasse comme un pie, est un explorateur quasi infatigable, un charmeur éhonté, un chanteur enthousiaste, un petit frère tyrannique et brutal, un colorieur Pollockien.

Bref, un grand bébé-garçonnet en pleine forme qui met du soleil dans bien des journées.

Joyeux anniversaire, mon fils, je t'aime.

Explorateur.jpg

jeudi 18 février 2016

Bientôt

Oui bientôt, dans vraiment pas long, dans quelques jours, quelques semaines, mais pas plus de trois, probablement, je vais être tante, tantine, tata !

Mon p'tit frère va être papa !

Depuis presque toujours, depuis qu'il n'est plus lui-même un enfant, il a toujours eu un super contact avec les petits, les moyens, les ados. Alors l'idée de le voir avec un petit (une petite, d'ailleurs) qui soit la sienne, d'enfant, ça me réjouit pour lui.

Et je vais être tataaaaaa !!!!

mercredi 20 janvier 2016

Du gras, des patates, la vie

Hier à la cantine au restaurant d'entreprise, il y avait une animation "grand froid". De circonstance.

Après avoir proféré des menaces à qui s'égosillerait "Libérée, Délivrée" à la vue du décor banquise et ours blanc [1], j'ai constaté que l'un des plats proposés à nos papilles de convives gourmands, c'était la tartiflette.

Et qu'une file d'attente d'au moins 20 minutes était déjà formée devant la dite tartiflette.

Qu'à cela ne tienne, Étienne, pas de ça Mélissa, me dis-je dans ma Ford Intérieure, je ne vais pas me faire chier les ovaires attendre si longtemps pour une tartiflette dont je soupçonne qu'elle ne comble pas mes attentes sur le sujet.

Taquinée par une collègue moins méfiante, je lui ai rétorqué que pisque c'est comme ça, j'en ferai une ce soir.

Dont acte. Aidée par ma fille (qui a regretté de devoir repartir chez son père AVANT le dîner :D), et malgré l'otite du petit et son obstination à refuser de prendre les médocs,  j'ai fait une mini tartiflette que nous avons dégustée en amoureux hier soir.

Et pour faire bisquer la collègue, je lui ai pris une photo à l'arrache (sans lumière et floue, donc) avec mon téléphone pour lui demander ce matin si elle n'avait pas l'air encore plus délicieuse que son déjeuner d'hier.

Ma victoire a été totale et triomphante.

Du coup je me tâte pour une raclette, ce soir :D

Note

[1] coucou Moukmouk, si tu passes par là !

jeudi 26 juin 2014

La grande flemme

La flemme d'allumer l'ordinateur, d'écrire, de bouger, la flemme ou les tiraillements qui rappellent à l'ordre. La flemme de m'installer sur mon tabouret ergo-japonisant pour lire et commenter ce qui se passe ailleurs [1].

Un peu moins de 3 semaines. MAX. Bizarre. Dans trois semaines maximum il y aura un bébé dans cette maison. S'il se fait sentir très concrètement dans mon corps, j'ai encore du mal à faire le lien avec la réalité d'un nourrisson dans nos bras sous peu.

Et puis parlons-en de ces trois semaines. Les parents arrivent, il y aura donc une garde rapprochée autour de moi tout le temps : pourquoi attendre ?

Hey Petit Machin, tes derniers cheveux, tes petits ongles et tes 15 grammes de gras par jour, tu peux faire ça de dehors, aussi, tu sais ? ;)

Parce que mine de rien, on a hâte de faire ta connaissance.

Note

[1] et puis cette histoire de commentaires qui m'enchaînent dans les spams me saoule, d'une force !