Ce matin, sur le chemin du travail, il y avait encore des absents, ou bien des pas réveillés.
13 minutes de trajet. Le rêve. Si ça pouvait être comme ça toute l'année.
Vague sentiment d'étrangeté familière à revenir dans ces lieux [1].
Et puis mon acte de fierté du jour.
J'ai failli oublier mon badge. Sans qui pas d'accès au parking, ni au bureau, ni à la cantoche. Le drame, en somme. Et puis sur le palier de la maison, je me suis souvenue que je ne l'avais pas, et l'ai donc récupéré in extremis.
De quoi moins se pourrir la journée de rentrée, en somme.
Bon. C'est parti.
Note
[1] d'autant que, si mes infos sont bonnes, il devrait y avoir -encore- du mouvement d'ici quelques jours
Commentaires
Bon courage !
Bon courage en tout cas.
(et si les lieux déménagent j'espère que ça sera un qu'on pourra à nouveau déjeuner ensemble (et c'est là que c'est moi qui partirai bosser à perpète la ouache comme disent mes enfants))
bonne rentrée à toi. Et des bises !
Merci Franck :)
Gilda, ah non, les lieux ne vont pas déménager, je pense que je vais changer de chef et d'équipe pour faire la même chose au même endroit !!! Mais on peut trouver moyen de mi-cheminer, tant que tu ne pars pas à perpète la ouache !
Merci ma Luce. Des bisous fort, aussi.
Tiens, l'Homme a fait exactement la même chose ce matin ! Bon courage pour la reprise et des bisous :-*
Lizly, oué oué oué, du courage il faut ! Merci et des bisous itou !
Ouep, profite bien des 13 min, cela va pas durer ! bon courage à toi...
Si tu croises quelques terrassiers, ce sera le travail du chemin ?
N'insistons pas, et surtout bon courage
;-)
Ici aussi, sans badge point de salut.
On a des vies de ouf, ou bien ?
Gilsoub, déjà ce matin, c'était moins bien :(
K huhuhu. C'est fréquent qui plus est à cette période...
liwymi tu m'étonnes. Et en plus on a signé.
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