Ca durera ce que ça durera, mais là, je kiffe.
j'ai adoré ce week-end, passer du temps avec des amis pas vus depuis longtemps, des licornes de Cro-Mi (y a une de ses potes qui m'a adoptée comme mère suppléante, elle est brillante et touchante et écorchée vive, je l'adore, et ses honteux partis pris pour moi me chauffent le coeur).
La maison est sereine. Et il fait beau ! Et je suis en sandales et robe d'été !
Bref, je suis taquine, moqueuse et rieuse et je vais bien, j'avais oublié ce que c'est bon.
Comme la météo joue à l'été à Paris après une absence notable de printemps, on passe la journée sur le toit, ou presque, avec mes collègues. Chaque réunion relocalisable en plein air se passe en haut. Le déjeuner aussi. Bref, je vais aborder ma période rouge. (J'ai déjà expliqué ; mon houitième belge me conduit à bronzer rouge et blanc. Je n'atteins jamais la partie café de la tranche napolitaine, hélas, mais la simple joie d'être en plein air m'emplit d'allégresse).
Celles et ceux qui se prennent mes rafales de bonne humeur vont vite fatiguer, mais là, tout de suite, le monde est foutu mais la vie assez belle.
Voilà. Profitons de la légèreté quand elle passe. Aimons, rions. Ca ne durera pas, on est assez grands pour le savoir, alors savourons.
Commentaires
Voilà ! de bonne rafales de bonne humeur, de surcroit au soleil, c'est super bon ! des gros bisous tout plein :-) 8-)
Gilsoub bien rentrés ? Bisous !
" le monde est foutu mais la vie assez belle."
oui profitons de chaque instant comme si c'était le dernier, comme disait je ne sais plus qui...
Et pour les autres instants, je lutte pour qu'il puisse y avoir du bonheur demain et après demain.
Iceman je disais ce matin : ça ne sera pas pire en faisant la gueule :)
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