C'est donc la rentrée.
Fini les jours à trouver de l'enfant sauvage en plein jeu dès le retour à la maison. Il faudra désormais se plier aux horaires, aux jours, et à l'état de la route.
Les jours raccourcissent comme des rangs[1]. J'ai l'impression qu'on a tellement attendu, manqué de soleil, de lumière cette année que la perspective de la nuit tombée, de l'automne, me donne des impressions de fin du monde. Souhaitons le beau, l'automne.
Et puis un je ne sais quoi de manque de joie qui s'accroche parfois aux basques pour un rien. Un "bises" qui n'est pas en bas d'un mail, un film un peu triste qui se greffe au fil des pas de la journée, une ambiance qui pèse un peu, un rien.
Un seul remède à ça, une cure d'hilarité. Peut-être un concours de rires ce soir, à table ?
Note
[1] nan rien, laissez tomber, c'est une blague de tricoteuse
Commentaires
La rentrée m'a redonné le moral. Mais je reprend la route du travail et ça faisait si longtemps que ça me fait du bien. Par contre, tout comme toi j’appréhende un automne qui viendrai trop vite. La cure d'hilarité me semble un bon remède accompagnée de celle d'amour. et des bises en pagaille !
Oui, plein de bisous, na !! Et je comprends bien le phénomène inversé, pour le travail, Luce !
Ah, oui, une cure d'hilarité, spa mal ça ! Clowns sans frontières ! (en fait, il existe déjà une ONG humanitaire qui s'appelle comme ça...!) :)
Pablo et de mots bulles, aussi ! Mots bulles sans frontières, ça existe ?
Des bises. En wagons plein à craquer.
Smily rho oui ça fait du bieng !
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