Pas de forfanterie[1] chez moi quand je dis qu'arrêter de fumer, ça s'est fait facilement et sans douleur.
En revanche, ce qui l'est moins, c'est les crèves d'automne hiver et printemps quasi permanente. Ainsi, depuis hier, le nez pique, ce samedi, ça tourne toux sèche, et demain ça sera gras [2].
Pas de regrets, mais bon. Ca suffa comme ci, hein ?
Commentaires
Et tu crois que c'est l'arrêt du tabac qui donne la crève ? J'ai peur d'avoir mal compris. A moins que ce soit dû à la disparition progressive du manteau protecteur de la nicotine dans tes bronches... 8-)
mirovinben, on m'a dit à plusieurs reprises que les premiers hivers étaient vulnérables, je ne sais quelle est la réalité scientifique de la chose, mais le fait est : jamais été aussi malade que ces deux derniers hivers !
Il m'avait fallu deux hivers sans clope avant que les désagrément hivernale typique des fumeurs abstinent ne commence à s'estomper sérieusement ! et effectivement l'on m'a expliqué (mais réalité ou pas ?) que le goudrons formais une sorte de couche protectrice et qu'il fallait du temps pour un netoyage profond et une nouvelle couche protectrice ne se fasse !
Gilsoub, j'ai eu des échos sur un hiver, d'autres sur trois, voici ton expérience avec deux... j'espère que ça ne sera pas deux sans trois !!!!
Difficile à dire... J'ai arrété de fumer en Mars 2008, et là c'est le premier hivers où je n'ai quasiment rien eu. Juste une sorte de grippe, (38 de fiévre et surtout courbature) pendant trois ou 4 jours dénut février. Rapport ou pas ?
C'est aussi le premier hivers ou, look oblige, je sors avec écharpe et chapeau presque systématiquement. Bon le chapeau, je pense pas, mais l'écharpe, ptete bien que...
Tu rigoles ? Je crois que quelque chose du genre 20% des échanges de chaleur se font par les extrêmités, alors chapeau sur la tête = sans doute un bon allié contre le coup de froid, Gilsoub :)
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