Ce matin, émue par le manège plein de tendresse de mon fils (aller chercher une peluche, la câliner tendrement en "lui chantant" - c'est-à-dire en chantonnant deux mots et en comptant sur nous pour remplir les trous - une de ses chansons d'avant dormir), je lui tends les bras en lui proposant un câlin.
Bras dans lesquels ils s'est précipité, avant de m'escalader et m'entourer de ses petits bras.
Du coup je lui ai demandé s'il voulait qu'on se serre fort comme on s'aime. Et là, pression desdits petits bras autour de moi.
Il n'y a pas grand chose qui puisse donner un shoot d'amour pur aussi puissant, dans la vie, quand même.
Et me voilà, donc, emplie de bonheur pour les heures à venir.