lundi 18 décembre 2017
La fin
La fin d'année commence à approcher sérieusement.
Comme d'habitude et de bien entendu je regarde ce cap avec un sourcil levé d'étonnement : déjà ? La fatigue de l'habituelle et éreintante période septembre - décembre au boulot est bien là, malgré les mini vacances de la Toussaint, mais j'ai toujours ce décalage de perception entre la date du calendrier et celle que je ressens.
Si je devais faire un bilan de cette année, je commencerais par dire qu'elle a été foutrement difficile - professionnellement, pour commencer.
Et finalement, avec quelques idées sur comment je voudrais construire mon futur et une légère anesthésie de fatigue, j'ajoute des ornements.
En plus de nos belles vacances d'été couronnées d'un neveu neuf, j'ai l'énorme somme de deux escapades à mon compteur, cette année. Ca faisait des années que je n'en avais pas fait autant. Le week-end des sorcières et l'escapade à Nantes ont été de si jolis moments que bon, quand même.
Et puis le chat ! Maïa qui me réjouit, Maïa qui me fait rire, Maïa qui me snobe avant de réclamer les bras et me donner des coups de tête sous le menton. J'adore ce chat. C'est con, hein, mais je l'adore.
Les enfants vont bien, aussi (n'essayez pas d'interpréter l'ordre d'importance prioritaire, j'écris au fil de l'eau à la faveur de quelques minutes de calme !) Les grands semblent bien dans leurs vies de collégien(ne)s, le petit, aka "fils de la joie et du soleil", resplendit et enchante toute chose de son sourire à fossettes et de son talent pour la vie.
Alors on est un peu plus sereins que les années passées, je pense.
J'ai vu ma tante, beaucoup. Vu là où elle vit, ça n'est pas si courant.
Tout le monde va bien, autant que possible.
Et puis mon vélo !
Je parcours les photos de l'année et oui, il y a eu de la joie, du bonheur, plein et à répétition.
Même si ce pan professionnelle n'est pas source de plaisir et d'épanouissement en ce moment, le reste a fabriqué une plutôt chouette année, malgré le monde qui nous entoure.
C'est précieux.