Ça y est, ça sent la campagne !
Non que l'air automnal et frisquet se parfume de crottin et d'odeurs d'épandage, mais les équipes des candidats aux municipales (et parfois les candidats eux-mêmes) vivent le tract à la main, aux abords des marchés, supermarchés et autres lieux de passage.
L'occasion pour moi de faire la peste avec ceux qui ont des tracts bleus [1] en leur disant qu'ils devraient porter des gants, que ça tache les doigts, tout ça. Parfois rejointe en écho par les vieux Colombiens qui ont connu l'avant, le pendant, l'après, et qui ne sont pas près à replonger (j'espère que c'est généralisé).
On en est encore qu'au début, le pire reste à venir.
Air du temps dans une ville au passé militant.
Note
[1] ceux de notre ancienne maire, tendance que j'aime pas avec un bilan que j'aime pas
Commentaires
halala
si tu t'avais combien je te comprends !
et la route est longue encore, très longue !
des bises
cuicui, c'est ça, je compte sur mes doigts et je me dis qu'on en est encore qu'au début. Au moins on va rigoler aux entrées des marchés, me dis-je...
bises !
à l'entrée des marchés et hélas, trois fois hélas à l'entrée du bureau matin midi et soir pour moi, poooooooooooovre fonctionnaire territoriale intègre !
Il va en falloir de la ressource comique pour trouver ça rigolo aussi souvent, j't'le dis moi ! ;-)
cuicui ah bien écoute, il faut bien qu'il y ait des inconvénients aux avantages de la fonction !!! :p
Je te crois sur parole, ma pauvre. (J'étais stagiaire communication dans un syndicat d'agglomération nouvelle au moment où Chirac a dissout l'assemblée, j'en garde un souvenir mémorable, d'autant que notre patron est devenu ministre, mais dans les derniers appelés :D)
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